Par akademiotoelektronik, 09/04/2023
Ville de Paris Formula Bula 2021 : le festival de la BD et plus si affinités !
ÉvènementMise à jour le 15/09/2021Crédit photo :Formula BulaRevenir en hautUne neuvième édition du festival du neuvième art ! Formula Bula, le festival de la BD, revient dans notre arrondissement à partir du 23 septembre, toujours avec le soutien de la Mairie ! Tout savoir sur cette 9
e édition du festival Formula BulaBesoin d'infos en plus ? De vérifier un point du programme ? Rendez-vous sur le site du festival : formulabula.fr !
Au programme
Les expos
Opération Tzatziki !
Dans le Désert de la Folie Douce, submergée par une mer paisible et parfumée, flotte une île du nom de Macédoine, l’île des Légumes. Sur cette île se trouve un étrange Cactus Blockhaus, demeure du justicier du potager : le Concombre Masqué. Sorti tout droit de l’imagination de Nikita Mandryka, ce personnage est apparu pour la première fois dans le journal Vaillant, en 1965. Pendant plus de 50 ans, il a connu de multiples évolutions graphiques et thématiques, au gré de ses publications et de la vie psychique de son auteur. En effet, Mandryka, grand lecteur de Freud et de Lacan, a toujours décrit cette œuvre loufoque comme une auto-analyse infinie. Dessinateur multi-récompensé (Grand Prix en 1994 et Prix du Patrimoine en 2005 au festival d’Angoulême; Grand Prix Töpffer 2019), fondateur de L’Echo des Savanes avec Claire Bretécher et Marcel Gotlib en 1972, rédacteur en chef de Charlie Mensuel en 1982, puis de Pilote en 1983, pionnier de la publication sur Internet, passionné de psychanalyse, Mandryka a eu une existence bien plus riche et complexe que son Concombre masqué. Le 13 juin dernier, il rejoignait pour toujours la Dimension Poznave laissant le monde de la bande dessinée plus liquide qu’un bretzel. Cette exposition n’est pas une rétrospective posthume, mais plutôt la célébration d’une œuvre incroyablement dense, vivace comme un broutchlag mordoré.Du vendredi 24 septembre au samedi 23 octobre, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Le chant du monde
« Je sais bien qu’on ne peut guère concevoir un roman sans homme, puisqu’il y en a dans le monde. Ce qu’il faudrait, c’est le mettre à sa place, ne pas le faire le centre de tout, être assez humble pour s’apercevoir qu’une montagne existe non seulement comme hauteur et largeur, mais comme poids, effluves, gestes, puissance d’envoûtement, parole, sympathie. Un fleuve est un personnage, avec ses rages et ses amours, sa force, son dieu hasard, ses maladies, sa faim d’aventure. » Jean Giono, Le Chant du monde, 1934 Les auteurs réunis dans cette exposition proposent des aventures graphiques et narratives dans lesquelles l’humain et sa figure occupent une place secondaire, voire inexistante. L’exposition est composée de six fenêtres, une par auteur, qui sont autant d’invitations à se glisser dans ces bouts de monde que l’on ne regardait plus ou que l’on ne voyait pas. L’environnement, ce qui est autour ou avec nous, devient la condition sine qua non de l’existence d’un récit. En plus d’offrir une expérience esthétique inédite au lecteur, ces récits, nous permettent d’imaginer un monde d’après la catastrophe, règne de la solitude et vidé de l’humanité. Les œuvres exposées orientent ainsi une observation fascinante et précieuse qui se révèle être un festin pour l’esprit.Du vendredi 24 septembre au samedi 23 octobre, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Immobilis in mobile
Depuis 2019, Formula Bula invite des auteurs à s’immiscer dans les plateaux de la médiathèque. Cette année, le festival expose donc Delphine Panique et Jérôme Dubois au milieu des livres, dans les étages. Deux auteurs aux plumes bien inspirées qui sont aussi invités à choisir quelques ouvrages de la bibliothèque parmi leurs références. Un Beau Voyage, comme son nom ne l’indique pas, est un très beau voyage. Delphine Panique y détaille avec un minimalisme XXL et un style proche de l’abstraction, un récit au souffle épique en un long plan fixe sur deux marins au grain incertain. Les deux naufragés nous font le roman d’aventures par le menu : Les îles mystérieuses. La faune extraordinaire que traquent des tribus primitives. L’océan avec ses monstres marins et ses baleines… Delphine Panique condense dans Un Beau Voyage tout ce qui fait le charme de ses ouvrages précédents; goût pour l’adaptation littéraire biaisée (Orlando, Éd. Misma 2013 / L’Odyssée du Vice, Éd. Les Requins Marteaux 2016), irrévérence historique (Le Vol nocturne, Éd. Cornélius 2018 / En Temps de guerre, Éd. Misma 2015), journalisme de divagation (revue Topo), et invente le compost-exotisme, une bande dessinée où dans chaque histoire fermente la promesse d’autres innombrables. Quand on ne peut aller nulle part, on est les bienvenus partout !Du vendredi 24 septembre au samedi 23 octobre, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Cité in, cité out
Depuis 2019, Formula Bula invite des auteurs à s’immiscer dans les plateaux de la médiathèque. Cette année, le festival expose donc Delphine Panique et Jérôme Dubois au milieu des livres, dans les étages. Deux auteurs aux plumes bien inspirées qui sont aussi invités à choisir quelques ouvrages de la bibliothèque parmi leurs références. Un Beau Voyage, comme son nom ne l’indique pas, est un très beau voyage. Delphine Panique y détaille avec un minimalisme XXL et un style proche de l’abstraction, un récit au souffle épique en un long plan fixe sur deux marins au grain incertain. Les deux naufragés nous font le roman d’aventures par le menu : Les îles mystérieuses. La faune extraordinaire que traquent des tribus primitives. L’océan avec ses monstres marins et ses baleines… Delphine Panique condense dans Un Beau Voyage tout ce qui fait le charme de ses ouvrages précédents; goût pour l’adaptation littéraire biaisée (Orlando, Éd. Misma 2013 / L’Odyssée du Vice, Éd. Les Requins Marteaux 2016), irrévérence historique (Le Vol nocturne, Éd. Cornélius 2018 / En Temps de guerre, Éd. Misma 2015), journalisme de divagation (revue Topo), et invente le compost-exotisme, une bande dessinée où dans chaque histoire fermente la promesse d’autres innombrables. Quand on ne peut aller nulle part, on est les bienvenus partout !Du vendredi 24 septembre au samedi 23 octobre, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Illustrad/AS
L’exposition Illustrad/AS porte un regard sur la création féminine dans l’illustration contemporaine d’avant-garde. L’illustration est aujourd’hui l’une des branches les plus imaginatives de la création graphique. La mode, les institutions ou les grandes marques sont quelques-uns des secteurs qui parient sur l’illustration comme élément commun dans leurs créations. Dans le secteur de l’édition, où le concept de livre illustré est de plus en plus utilisé, le travail des illustrateurs se démarque de manière particulière, favorisant avec leurs créations la réédition de classiques universels ou complétant visuellement la création de projets en cours. La commissaire de l’exposition, Matilde Rodríguez, a sélectionné les œuvres de 12 créatrices de premier plan à l’échelle internationale comme la Chilienne Luisa Rivera, les Espagnoles Sonia Pulido, María Hesse, Helena Pérez García ou Lara Lars, pour défendre le rôle que jouent les femmes dans cette période faste de l’illustration. L’exposition cherche également à se concentrer sur le travail plus libre, créatif et personnel des illustratrices sélectionnées en explorant les différents formats et techniques avec lesquels elles travaillent : sérigraphies, collages, céramiques, risographies, dessins numériques ou sculptures.Du jeudi 23 septembre au mercredi 27 octobre, à l'Institut Cervantes (Paris 8
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Suresxposition II
IMMIX galerie expose deux œuvres que tout oppose sauf leur allusion forte à la photographie. En ceci IMMIX galerie rejoint sa ligne éditoriale qu’elle défend depuis 15 ans, exposer la photographie et tout type d’œuvre qui s’y rapporte. Thierry Murat, dans Ne reste que l’aube (Éd. Futuropolis) traite l’image à la façon d’une photo haut contraste dont est expurgé tout demi-ton et tout dégradé. La lumière se fait crue, dure, rasante comme au coucher ou à l’aube, elle rappelle Caravage, ou en BD, l’œuvre de Muñoz. Avec toutefois un monochrome très personnel qui nous immerge entre chiens et loups. La vraisemblance si typique de la photographie persiste, mais se fait ambiguë : nous reconnaissons New York, mais nous sommes en Suède. Dans Algues vertes, Pierre Van Hove, sur un scénario d’Inès Léraud, éloigne son dessin de la vraisemblance photo : la ligne est claire, la lumière aplatie, les volumes simplifiés. Chez Van Hove, la photo entre surtout par une autre porte, sous la réminiscence de photos et vidéos diffusées à la télé lorsqu’il était question de la marée verte tueuse : angles de vue et iconographie sont similaires. La photo, avec son poids testimonial, s’insinue progressivement dans l’esprit du lecteur et ancre solidement le récit dans la réminiscence du fait réel. Deux œuvres, deux stratégies : chez Murat l’allusion-photo amplifie l’imaginaire, chez Pierre Van Hove l’allusion-photo amplifie la relation à l’existant.Du mercredi 22 septembre au samedi 30 octobre, à la Galerie IMMIX du CRL10 (116, quai de Jemmapes)
Les rencontres
Illustres Actives
Rencontre entre illustratrices. Avec Sonia Pulido (Esp.), Delphine Durand et Maru Aguzzi (Mex.), directrice artistique de Gran Salon Mexico. Modérée par Laura Caraballo. Plus ouverte sur l’expérimentation qu’auparavant, l’illustration contemporaine explore de nouveaux médiums. Pour Formula Bula, des illustratrices espagnoles et françaises échangent sur leurs pratiques respectives.Le vendredi 24 septembre à 16h, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
De vive voix
Les offices de la saison d’hiver des maisons d’édition Cornélius, Les Requins Marteaux, FLBLB, Atrabile, L’Association, Çà et Là L’Employé du Moi, Frémok et Super Loto Éditions.Le vendredi 24 septembre à 18h, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Promenade en forêt primaire
Avec Ulli Lust et Kai Pfeiffer. Les deux artistes projettent leur film sur la forêt primaire de Bialowieza, réalisé en 2019. Puis, ils évoquent comment cette expérience nourrit leurs projets de bd en cours.Le lundi 18 octobre à 19h, à l'Institut Goethe (Paris 16
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Le chant du monde (séance d'écoute)
Visite guidée de l’exposition le Chant du Monde en compagnie des auteurs ; Aurélie Wilmet, Dans le ciel tout va bien, Jul Quanouai, Paolo Viscogliosi, Clément Vuillier et Jérôme Dubois, avec en éclaireur Denis Asfaux.Le samedi 25 septembre à 15h, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Jardins divers
Avec Gilles Clément, Fred Bernard, Simon Hureau et modérée par Lucie Servin. « Il faut cultiver notre jardin » nous dit le Candide de Voltaire. Dans Carnet d’un voyageur immobile dans un petit jardin (Éd. Albin Michel, 2020), Fred Bernard au fil des mois et des saisons, scrute, dessine et commente la fourmillante vie de son jardin : fleurs, arbres, insectes, oiseaux… et leurs interactions dans cet écosystème. Avec Oasis (Éd. Dargaud, 2020), Simon Hureau raconte comment il a peu à peu redonné vie à un jardin en friche. Sans connaissances sur le sujet mais à force de recherches, de passion et d’huile de coude, il est parvenu à recréer une véritable oasis de biodiversité. Les dessinateurs s’entretiennent avec Gilles Clément ( jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste, écrivain) sur cette pratique à la fois éthique, plastique et politique qu’est le jardinage et sur les enjeux écologiques qui se jouent dans un jardin, cette petite parcelle de monde.Le samedi 25 septembre à 16h, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Mandryka, keskeucé ? Ou itinéraire du Concombre masqué
Avec Jean-Pierre Dionnet, Jean-Christophe Menu et Clément Paurd. Le 13 juin dernier, Nikita Mandryka rejoignait pour toujours la Dimension Poznave. Pour évoquer sa vie comme son œuvre, Formula Bula réunit autour d’une table, trois arpenteurs du Désert de la folie douce; trois générations qui ont regardé pousser les cailloux avec Mandryka. Jean-Pierre Dionnet, qu’on ne présente plus, fidèle compagnon de la première heure, Jean-Christophe Menu, auteur et éditeur, dégustateur avisé de concombre et Clément Paurd, auteur et commissaire de l’exposition Mandryka à la HEAD de Genève en 2020.Le dimanche 26 septembre à 16h, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)
Génération Hikikomori
Avec Jérôme Dubois, Maïa Fansten et Cristina Figueiredo. Hikikomori désigne un état psychosocial et familial concernant principalement des hommes vivant coupés du monde, cloîtrés dans leurs chambres pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, et ne sortant que pour satisfaire aux impératifs des besoins corporels. En résidence à Formula Bula pour son nouveau projet de fiction sur le thème de l’isolement, Jérôme Dubois aborde le phénomène Hikikomori avec Maïa Fansten, sociologue, et Cristina Figueiredo, anthropologue, toutes deux co-coordinatrices de l’ouvrage « Hikikomori Une expérience de confinement » Rennes, paru en 2021 aux éditions Presses de l’EHESP.Le jeudi 7 octobre à 19h, à la médiathèque Françoise Sagan (8, rue Léon Schwartzenberg)Libre cours à l’imaginationL’ambassade des Pays-Bas en France, en collaboration avec le festival International de bande dessinée Formula Bula et le Fonds littéraire des Pays-Bas, organise un cycle de sept dialogues entre des dessinateurs de bande dessinée néerlandais et français à l’Atelier Néerlandais à Paris. Le programme de rencontres « Libre cours à l’imagination » se déroulera en amont, pendant et après Formula Bula. Pour chacune des rencontres, les Néerlandais ont fait part de leur souhait d’inviter un auteur français avec lequel ils partagent des affinités artistiques et/ou narratives. La rédaction du magazine Aline installe un studio éphémère à l’Atelier Néerlandais pour y réaliser un numéro spécial.
La remise du Prix du CNFE
Pour la troisième année consécutive, Formula Bula et L’Articho ont mis sur orbite le grand concours international de fanzines réalisés par des jeunes de moins de 18 ans. Après de longues heures à peaufiner la sélection, le CNFE réunit son grand jury composé de jeunes fanzineux et de professionnels pour délibérer et enfin consacrer les gagnants de cette édition. L’ensemble des fanzines sélectionnés est référencé, commenté et exposé lors du festival.LOT À GAGNER : un bon d’achat de 50 euros de BD et ton gâteau préféré à déguster lors d’un goûter après la remise des prix !EXPOSITION DES FANZINES : les samedi 25 et dimanche 26 septembre, au carré Saint-Lazare.Le dimanche 26 septembre à 14h30, au carré Saint-Lazare
La Dédicroisière
Après avoir écumé les eaux tumultueuses de l’édition indépendante durant 16 ans, les éditions Misma viennent mouiller sur le canal de L’Ourcq pour le traditionnel Grand Pavois de la BD. Vous empruntez l’ancienne route de la bulle à bord du Dopututto, le fier galion catalan des terribles jumeaux : El Don Guillermo et Estocafich. À son bord, une sorcière un peu zarbi, les valeureuses soeurs Gousse et Gigot, le professeur Onliyou, Kimi le vieux chien, un gros ours et un petit lapin forment un équipage déglingué à souhait pour que votre croisière soit la plus coule possible. En fond de cale, le malfamé Club des chats vous invite à déguster ses meilleurs salamis arrosés de sangria tiède. Cerise sur le gâteau, vous êtes conviés à piller l’un des plus beaux catalogue de l’édition indépendante ! Alors, hissez la grand voile avec Anne Simon, El Don Guillermo, Nylso, Estocafich et Delphine Panique.Le dimanche 26 septembre, de 15h à 17h, le long du canal de l'Ourcq (départ et arrivée depuis le bassin de la Villette, au niveau des numéros 19 et 21 du quai de la Loire, dans le 19
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Le Super Loto Bula
Grands maîtres de cérémonie de lotos depuis une décennie, Franky Baloney et Camille Escoubet vous feront tourner la tête (et les serviettes) pour rêver à un monde meilleur lors de ce vrai Super Loto exceptionnel ! NOMBREUX LOTS À GAGNER ! La culture n’est pas une marchandise, c’est le super gros lot !Le samedi 25 septembre, de 17h à 19h, au carré Saint-Lazare
Les auteurs à l'affiche
Maru Aguzzi (Mexique), Denis Asfaux, Franky Baloney, Fred Bernard, Christophe Blain, Laura Caraballo, Cizo, Gilles Clément, Dans le ciel tout va bien, Jean-Pierre Dionnet, Jérôme Dubois, Delphine Durand, El Don Guillermo, Estocafich, Maïa Fansten, Cristina Figueiredo, Thomas Gabison, Erik de Graaf (Pays-Bas), Antoine Guillot, Simon Hureau, Milan Hulsing (Pays-Bas), Loo Hui Phang, Alex W. Inker, Aimée de Jongh (Pays-Bas), Erik Kriek (Pays-Bas), Inès Léraud, Ulli Lust (Autriche), Nikita Mandryka, Frédéric Maupomé, Carole Maurel, Jean-Christophe Menu, Céline Merrien, Mezzo, Thierry Murat, Nylso, Delphine Panique, Clément Paurd, Kai Pfeiffer (Allemagne), Sonia Pulido (Espagne), Jul Quanouai, Pascal Rabaté, Ruppert et Mulot, Matilde Rodriguez (Espagne), Tobias Schalken (Pays-Bas), Lucie Servin, Anne Simon, Marcelino Truong, Typex (Pays-Bas), Stefan Van Dinther (Pays-Bas), Peter Van Dongen (Pays-Bas), Pierre Van Hove, Béatrice Vincent, Paolo Viscogliosi, Clément Vuillier, Aurélie Wilmet (Belgique)
Les maisons d'édition présentes
476, Adverse, Arbitraire Éditions, L'Articho, L'Association, Atrabile, Biscoto, Çà et Là, Collectif Flutiste, Cornélius, Éditions Exemplaire, Éditions Fidèle, Éditions Réalistes, L'Employé du Moi, FLBLB, Les Fourmis Rouges, Frémok, The Hoochie Coochie, Le Lézard Noir, Matière, Revue Lagon, Revue Soldes Almanach, Super Loto Éditions
Mots clés:
ce qui est tout à fait sans pilote dans l'analyse de la folie
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